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Son nom est Liv Maria Christensen.
Elle fut l'enfant solitaire, la jeune fille fiévreuse, l'amoureuse du professeur d'été, l'orpheline et l'héritière, l'aventurière aux poignets d'or.
Maintenant la voici mère et madone, installée dans une vie d'épouse.
Mais comment se tenir là, avec le souvenir de toutes ces vies d'avant ?
Faut-il mentir pour rester libre ?
Julia Kerninon brosse le portrait éblouissant d'une femme marquée à vif par un secret inavouable.
Elle explore avec une grande justesse les détours de l'intime, les jeux de l'apparence et de la vérité.
« Lorsque quelqu'un est aussi discret que moi, personne n'imagine qu'il puisse avoir un tempérament passionné. Mais - je le sais mieux que personne - il ne faut pas juger un livre à sa couverture. » Après vingt-trois ans de silence, Helen et Frank se croisent par hasard sur un trottoir de Londres. Dans le choc des retrouvailles, la voix d'Helen s'élève pour livrer à Frank sa version de leur vie ensemble, depuis leur rencontre en 1950, à Rome, alors qu'ils étaient encore adolescents, jusqu'à ce jour terrible de janvier 1995, qui signa leur rupture définitive. Elle retrace l'éblouissante carrière de peintre de Frank, et tout ce qu'il lui doit, à elle, sa meilleure amie. Leurs deux destins exceptionnels, la force implacable qui les lia et les déchira, Julia Kerninon les peint avec subtilité, dévoilant en profondeur la complexité des sentiments d'une vie de femme.
Découvrez quatre soeurs attachantes, Meg, Jo, Beth et Amy, ainsi que leur mère Marmee. En 1865, aux États-Unis, la vie n'est pas facile pour cette famille dont le père est parti à la guerre, tandis que la mère trime dur pour soutenir les siens et aider les gens de son voisinage. Entre les larmes et les rires, les quatre filles apprennent à surmonter les épreuves de la vie et à devenir des adultes, en espérant le retour de leur père bien-aimé.
Dans son essai La désobéissance civile (Civil Desobedience, 1849) Thoreau proclame son hostilité au gouvernement américain, qui tolère l'esclavagisme et mène une guerre de conquête au Mexique.
Refusant de payer ses impôts, alors même qu'il est en désaccord avec la politique de l'état, il est arrêté et doit passer la nuit au poste. L'essai eut une grande influence sur le Mahatma Gandhi et sur Martin Luther King.
Ce texte historique intéressera toute personne concernée par la politique et particulièrement par le débat qui a lieu en ce moment autour de la désobéissance civile.
Les "faucheurs" de plants de maïs transgéniques, les associations qui, comme Droit au Logement (DAL), et jusqu'aux opposants à l'avortement, nombreux sont ceux pour qui la désobéissance à la loi devient une forme d'action politique.
Première oeuvre d'un jeune auteur d'origine haïtienne, Comment faire l'amour avec un Nègre sans se fatiguer est toujours d'actualité bien des années après sa parution. Depuis, le roman est devenu un classique de la littérature québécoise et Dany Laferrière a été reconnu comme un écrivain majeur de la littérature d'expression française. Acclamé par une critique unanime et un public enthousiaste, ce roman a connu un succès retentissant dans plusieurs pays, notamment dans le monde anglophone où l'on a comparé son auteur à Bukowski et à Miller.
Victor Frankenstein est un scientifique obsédé par le rêve de créer un être humain et de lui donner vie. Quand il parvient à son but, il est tellement horrifié par l'aspect de sa création qu'il la rejette aussitôt, l'abandonnant à elle-même, sans se douter des conséquences tragiques de son geste.
Frankenstein réussira-t-il à détruire le monstre avant que celui-ci mette à exécution sa terrible vengeance ?
À 30 ans d'intervalle, deux enfants disparaissent dans des circonstances nébuleuses. Rien ne lie apparemment ces drames, sinon l'horreur qui les entoure et la douleur de leurs survivants...
Pour son 10e roman, Andrée A. Michaud nous offre un suspense psychologique situé dans un cadre enchanteur, mais loin d'être à l'abri des mauvais coups du sort. Peut-on faire véritablement la paix avec des événements aussi marquants ?
Le 7 août 1979, Michael «Superman» Saint-Pierre, 12 ans, disparaît dans les bois de Rivière-aux-Trembles. Trente ans plus tard, c'est au tour de Billie Richard, 8 ans, de disparaître en sortant de l'école, dans un autre ville. Leurs corps ne seront jamais retrouvés et les proches deviendront aussi des victimes à part entière de ces événements. Il y a, d'une part Marnie Duchamp, qui était avec Michael ce jour-là, et d'autre part, Bill Richard et Lucy-Ann Morency, parents de la petite Billie. Ce sont donc les itinéraires de l'entourage qui structurent l'histoire, et plus particulièrement le moment où Marnie revient dans sa ville natale après 30 ans d'absence. Son retour coïncide avec la venue de Bill Richard qui choisit de s'exiler dans ce bled perdu après l'effritement de son couple. Le hasard voudra qu'un troisième enfant disparaisse et ranime les vieilles blessures de Marnie et de Bill, au point où ceux-ci seront soupçonnés d'avoir pris part à cette nouvelle disparition dans des circonstances tout aussi nébuleuses...
La décharge Freshkills n'est pas une métaphore. C'est un épicentre. La grande négativité, le grand vide qui nous submerge, la vacuité, la vanité sans fin de nos existences protégées viennent de Freshkills et se propagent, comme une onde invisible, à l'infini, sur le territoire lisse et policé de la ville normalisée. Tout s'organise soudain et tout fait sens, comme une ligne, comme un fil rouge qui vient ceindre notre cou et serre : l'enfance quadrillée, surprotégée, domestiquée, l'exploitation d'une zone naturelle hybride, instable, impropre à tout, la destruction de toute vie sauvage, du braconnage et des flâneries sans but, la négation de l'ordure comme fragment organique, dynamique et en perpétuelle métamorphose, l'avènement d'un espace de loisir conforme, en attendant le retour des promoteurs, et la recréation simulée d'un paysage à l'identique, mais sans errance, sans déviance, sans liberté - cela fait sens, et même système. »